Au même titre que la 3D, les usages innovants de l’imagerie RX commencent à émerger dans le milieu des sciences du passé à l’initiative d’archéologues, d’anthropologues biologistes, de paléopathologues ou de restaurateurs-conservateurs. Ces technologies, qui ne cessent de progresser, ouvrent une nouvelle ère pour la connaissance, la conservation et la diffusion des données archéologiques. Foncièrement interdisciplinaires, elles bouleversent les pratiques et font apparaître de nouvelles préoccupations, de nouveaux enjeux.